Mémoire sur Kaamelott, Les muances du Graal (extrait de la première partie)
B . Le Graal : visions des personnages
S'il existe donc des muances objectives du Graal, chaque personnage a sa propre vision de l'objet sacré. Idéalisé, désacralisée, réduit à un bocal à anchois, le Graal prend autant de formes que les personnages lui prêtent. Comme dans les textes médiévaux, le Graal apparaît différemment à chaque personnage. Dans le Lancelot en prose,[1]Lancelot et Bohort voient le même objet sacré, mais dans un contexte différent. Lancelot l'aperçoit chez le Roi pêcheur, tandis que Bohort le contemple durant un office. Dans Kaamelott, aucun personnage ne voit jamais le Graal, pourtant, chacun en a sa propre vision. Elle est le reflet de leur personnalité. Tous les personnages sont à la fois médiocres et extraordinaires. Certains possèdent des dons, utiles dans la vie quotidienne, mais sans valeur pour la quête du Graal. Par exemple, Perceval est un génie des mathématiques, mais ses techniques de combat sont douteuses. Comme Rabelais, Astier semble articuler l'esthétique de son œuvre en alliant grotesque et sublime, mais aussi, ironie, comédie et drames. Le Graal est donc à la fois un objet tragique, comique ou dramatique.
3. Les femmes : le miroir de leurs ambitions
L'enjeu de la quête du Graal pour les femmes du royaume de Kaamelott est à la fois politique et sociale, puisque la place de reine revient à celle dont le mari est le roi. Arthur est roi de Bretagne car il a notamment fédéré l'ensemble des clans bretons autour de la quête du Graal.[1]Il est aussi roi, car il a épousé la princesse de Carmélide, et sa disparition dans le quatrième livre émeut le royaume tout entier. La reine tient une place centrale dans cette administration. Elle doit avoir de la prestance, être sur le trône et faire un héritier au roi.[2]Comme le Graal, l'enfant d'Arthur permettrait à ce dernier de légitimer son pouvoir et d'asseoir celui de sa reine. Pour les femmes, l'enjeu est donc double : il faut être femme du roi et mère de l'héritier pour jouir pleinement de ce statut social et du pouvoir qui lui incombe. En outre, si la reine n'a pas le droit de prendre la place du roi, elle peut néanmoins choisir qui devient régent du royaume.[3]Chaque femme de la série a son propre point de vue sur la quête du Graal et sur sa maternité, qu'elle soit maîtresse ou reine, cette vision a son importance dans Kaamelott.
Guenièvre est une reine qui n'a pas sa place aux côté d'un roi, car elle n'a aucun charisme et aucune prestance, comme le souligne péjorativement sa propre mère.[4]Contrairement à Mevanwi, le pouvoir et les affaires du Royaume ne l'intéressent en rien. Au contraire, elle trouve que sa vie de reine est pénible et ennuyeuse.[5]Comme Aliénor d'Aquitaine, Guenièvre est sensible à l'Art, et invite des troubadours à sa table.[6]Elle aime également la sculpture romaine,[7] et donne au moins une représentation théâtrale.[8]Guenièvre se comporte typiquement comme une noble Dame du moyen-âge,[9] et cet aspect est tourné en dérision dans la série, son personnage en est même une caricature. Elle s'occupe peu des affaires du royaume et ne sait pas non plus s'occuper d'elle. Elle a, par exemple, besoin d'une servante pour se coiffer et s'habiller du premier au quatrième livre.[10]
Pourtant, le personnage évolue et devient de plus en plus autonome. Dans le Livre V, elle sait faire du feu et piéger des oiseaux, ce qui n'est pas très utile dans un château, mais pratique pour partir à l'aventure. Au demeurant, elle est l'un de seuls personnages capable d'arpenter les chemins de la quête d'Arthur, alors qu'elle n'est pas chevalier. Ensuite, Guenièvre est en quête de liberté, et elle n'a pas besoin de partir en quête du Graal pour l'accomplir. Elle quitte Arthur à la fin du troisième livre, et tente l'aventure avec Lancelot. Cependant, sa romance adultérine est un échec, puisque ni elle, ni Lancelot ne consomme cette union, car ils ne savent pas comment le faire.[11]De plus, la réalité de la vie dans le camp militaire n'est pas à la hauteur de ses fantasmagories.[12]Elle s'imaginait aussi que son amant ne s'occuperait plus de la quête du Graal, et elle est déçue qu'il y prenne part. Enfin, Lancelot la prive de toute liberté, et lorsque Arthur vient la délivrer, il la trouve attachée à son lit : « Je vous quitte pour être plus libre et vous me retrouvez attachée comme un saucisson ».[13]Cette image est une métaphore de sa relation avec Lancelot : elle se croyait aimée et libre, elle était en fait assujettie. Son idylle rêvée d'une vie aventureuse auprès d'un chevalier servant aux cheveux blonds, n'était qu'un fantasme.
Enfin, sous ses airs enfantins, Guenièvre est extrêmement lucide. Elle affirme notamment à Arthur que ses réunions de la Table Ronde sont vaines[14] et que Calogrenant est un abruti.[15]
Elle sait que la Quête du Graal est stérile, tout comme sa relation avec Arthur : « Je voulais savoir pourquoi vous laissiez tous vos chevaliers former des clans séparatistes, alors que l’une de vos plus importantes missions a toujours été de fédérer les clans existants autour de votre royaume et de la quête du Graal ? ... ».[16]La reine explique aussi au roi : « Un jour, vous comprendrez peut-être que vous êtes tout simplement incapable d'être amoureux. Ni de moi, ni des autres... ».[17]Elle préfère d'ailleurs accompagner Arthur dans la quête de ses enfants illégitimes, que dans la quête du Graal.
Elle n'est pas une dirigeante née, néanmoins, elle est bienveillante. Si Arthur critique et se moque de cet aspect de sa personnalité dans le premier livre, il en est agréablement surpris dans le Livre V, lorsqu'il lui demande : « Mais vous vous êtes toujours occupée de moi comme ça ? ».[18]Sa principale qualité est aussi son principal défaut. Le roi ne pouvait pas le remarquer avant, car il ne percevait pas la Reine comme un adjuvant à sa quête, mais comme l'un de ses nombreux opposants. Quand Arthur change de quête, qu'il décide de partir à la recherche non plus du Graal, mais de ses enfants, le statut de Guenièvre évolue alors. Elle l'encourage à la poursuivre malgré son échec.
D'ailleurs, elle ne tombe jamais enceinte dans la série car Arthur ne la touche pas. Pourtant, dans la légende, Guenièvre est stérile. Dans l'incipit du Conte du Graal, un chevalier vient d'ailleurs lui renverser de l'eau sur la tête. L'eau est le symbole de la fécondité. En accomplissant cet acte, il démontre qu'elle n'est pas fertile. Alexandre Astier a choisi d'inverser les rôles dans Kaamelott : ce n'est pas Guenièvre qui est stérile, mais le roi lui-même. De plus, dans la légende, la reine ne prend jamais part à une aucune quête, puisqu'elle reflète ; dans les récits de Chrétien de Troyes en particulier, un idéal de beauté courtoise.[19]Elle apparaît comme une tentatrice dans le récit de Robert de Boron.[20]Dans la série, elle est en quête de liberté, et elle finit même par devenir une adjuvante à la quête d'Arthur.[21]Guenièvre n'est pas chevalier, mais elle a finalement autant voire plus de compétences qu'eux, tout comme sa mère, Dame Séli.
Dame Séli, est l'un des personnages inventé par Alexandre Astier. Dame Séli n'est pas intéressée par la quête du Graal, seul l'argent et le pouvoir sont dans l'ordre de ses priorités. Pour cette raison, elle demande à Merlin de concocter un filtre de fécondité qu'elle donne à boire au roi.[22]Elle prépare aussi des tartes immondes pour les petits-enfants qu'elle aimerait avoir.[23]Ses tentatives sont des échecs. Les femmes n'ont pas le droit officiel de gouverner, pourtant, certaines se l'approprient officieusement, comme elle. Elle se considère comme le chef d'état officieux de Carmélide[24] et n'hésite pas à réclamer une rançon pour sa fille en feignant son enlèvement.[25]Séli est probablement le personnage le plus lucide et le plus arriviste de Kaamelott. Au lieu de participer aux différentes quêtes, elle trouve le moyen d'en profiter et d'en faire profiter sa famille. Elle a tenté d'éduquer sa fille selon les préceptes pictes. Leur société était matrilinéaire : le pouvoir se transmettait par la femme, et celle-ci, comme les femmes celtes, étaient des guerrières, plus libres et plus respectées que les femmes françaises au XIXe siècle.[26] Enfin, Séli, comme Ygerne et Cryda de Tintagel, est un personnage qui tenterait d'enrayer la déliquescence du royaume de Kaamelott.
La mère d'Arthur, et sa tante de Tintagel, sont insupportables. Ygerne est effrayante[27] et Cryda méprisante.[28]Seule Séli les apprécie.[29]Toutes deux dirigent d'une main de fer la Cornouaille. Cantonnées à un rôle minime dans les trois premières saisons, les deux comparses prennent de l'importance dans la cinquième. Effectivement, aidées par Dame Séli, elles incitent Arthur à replanter l'épée et à épouser Mevanwi. Ces actes auraient pour conséquence qu'Arthur abandonnerait non seulement le trône, mais aussi Mevanwi. Pourtant, dans de nombreuses œuvres littéraires médiévales, la mère d'Arthur joue un rôle peu important, tout comme sa tante. Ygerne apparaît pour la première fois dans le manuscrit Culhwch et Olwen,[30] sous le nom d'Eigyr. Son histoire personnelle est davantage développée dans l'Historia Regum Britaniae. Celle-ci commence un jour de fête. Au cours d'une fête de Noël, Uther Pendagron rencontre la jeune femme mariée au duc de Cornouailles et en tombe amoureux. Il se confie à son cousin Urfin qui lui conseille de la séduire. Le duc de Cornouailles n'appréciant pas que sa femme soit ainsi courtisée, déclare la guerre à Uther Pendragon. Merlin se présente alors au roi et l'aide à connaître charnellement la duchesse grâce à un sortilège[31] qui lui donne l'apparence du duc. En échange, l'enchanteur demande la faveur d'élever l'enfant, qui naîtrait de cette union. Ygerne n'est pas informée du subterfuge et ne revoit son fils qu'à l'aube de son couronnement.
Ygerne est un personnage féminin typiquement médiéval. La femme, dans les récits quêtes du Graal, possède souvent des dons divins ou magiques. Elle est en effet une fée, ou une sorcière. Elle peut avoir plusieurs fonctions : soigneur, tentatrice diabolique ou passeur entre les deux mondes. La Dame du Lac, Morgane, Iseult et sa mère, sont d'ailleurs des fées, des magiciennes aux pouvoirs enchanteurs.[32]Dans Kaamelott, Ygerne possède le pouvoir de rentrer en communication avec Pendagron, son défunt amant.[33]Dans l'Historia Regum Britaniae, Ygerne a des dons de voyance. Ygerne a passé toute son enfance à Avalon,[34] les îles fortunées, où les morts se prélassent dans une opulence pareille à celle décrite dans le mythe de l'âge d'or. Elle appartient donc à deux mondes : celui des morts et celui des vivants. En cela, la mère d'Arthur, mais aussi l'une de ses compagnes, Mevanwi,[35] sont donc des archétypes des personnages féminins de la légende arthurienne.
Mevanwi est la plus machiavélique des femmes. Son personnage prend de l'ampleur dès le troisième Livre. Épouse de Karadoc, elle a déjà quatre enfants de ce dernier. Cependant, elle convoite le roi et le pouvoir royal. Elle séduit Arthur, et tente par tous les moyens de légaliser et légitimer leur union dès lors que Guenièvre s'est enfuit du château.[36]Grâce à une ancienne loi de Vannes, elle y parvient.[37]Pourtant, Arthur la répudie lors d'une séance de doléances : « Faites tout ce que vous pouvez pour pas m'en vouloir », la supplie-t-il.[38] Mevanwi, blessée, tente de reprendre le pouvoir grâce aux enseignements qu'elle a reçus d'Elias.[39]Elle essaye notamment de faire boire à Guenièvre et Arthur une potion empoisonnée.[40]Son attrait pour le pouvoir est donc matérialisé par son propre cheminement : de femme de chevalier, elle devient reine, puis une magicienne puissante. Ce personnage, par ses agissements, n'est pas sans rappeler celui de Médée : une magicienne trompée et trahie, prête à tout pour récupérer sa place auprès de l'homme qu'elle aime et se venger de l'affront qu'elle a subi. Finalement, elle séduit le jurisconsulte et fait disparaître, sous ses yeux et dans son lit, l'annulation de l'acte de l'échange d'épouse. « Vous êtes vraiment une grosse morue ! » s'exclame-t-il alors.[41]Elle redevient ainsi reine et place Karadoc à la tête du royaume. Comme Séli, elle dirige le royaume de façon officieuse. Mevanwi tient un rôle important dans cette histoire, car elle participe à la déchéance du royaume. Elle tient, de plus, un rôle essentiel dans la vie du souverain. Même si leur relation est avortée car déplaisante pour les Dieux, elle n'en demeure pas moins primordiale pour Arthur qui éprouve des sentiments sincères à son égard. L'échec de leur union matérialise le désespoir du roi et le pousse à délaisser la quête du Graal et le pouvoir, pour réaliser sa propre quête. Puisque ses mariages sont stériles, le roi part en quête de ses enfants illégitimes, autrement dit, ceux qu'il aurait pu concevoir avec ses maîtresses.
Les maîtresses d'Arthur sont nombreuses, et attirées par la richesse. Elles sont aussi toutes en quête d'un statut social,[42] sauf Azénor[43] qui est kleptomane, Madenn, dont les parents sont des paysans aisés,[44] et les servantes du château.[45]Demetra, Aelis et sa sœur, les jumelles du pêcheur, ou encore Azénor sont les maîtresses officielles, mais le roi a aussi des aventures avec d'autres jeunes femmes, comme Madenn, ou les servantes. Les maîtresses entretiennent des relations amicales avec Guenièvre. Elles sont à la fois amies et rivales.[46] Elles expliquent même à Guenièvre comment faire des enfants. Aucune d'entre elles ne se montre intéressée par la quête du Graal, et elles ne veulent pas d'enfant du roi,[47] jusqu'à ce que la place sur le trône se libère.[48] Demetra réunit alors Aelis et les jumelles du pêcheur pour leur dévoiler son stratagème afin de devenir reine. Une fois partie, Aelis à son tour exposera son plan. Enfin seules, les jumelles du pêcheur tiennent le même discours que leurs deux rivales. L'héritier et le pouvoir sont au cœur de leur discours. Néanmoins, leurs plans ne se concrétiseraient pas puisque Mevanwi parvient dans le quatrième livre à légitimer son union avec Arthur, écartant ainsi les jumelles du pêcheur et Demetra. Par la suite, dans le cinquième livre, les jumelles du pêcheur demeurent introuvables, tandis que Demetra est devenue la femme d'Yvain, dans le seul but d'accéder au statut social de femme de chef de clan. Aelis, quant à elle, essaie de séduire Karadoc et d'obtenir davantage de pouvoir. Le chevalier trouve que cette situation n'est pas désagréable, et il croit ainsi imiter Arthur, qui avait l'habitude de prendre des bains avec ses maîtresses. Les maîtresses ne se fichent pas de la quête du Graal, mais comme Séli ou Mevanwi, elle est dans leur optique, le reflet de leur propre ambition.
Toutes ces femmes ont le « type romain ».[49]Leur beauté latine s'oppose à celles encensées par Chrétien de Troyes et ses contemporains, comme Enide, Guenièvre ou Iseult, blonde, la peau claire, les yeux vairs, le cou gracile, les joues et les lèvres pareils à des boutons de roses. Toutes les maîtresses d'Arthur ressemblent à Aconia, son amour perdu. Arthur désire plusieurs femmes, mais toutes ces années, il n'en a aimé qu'une seule et a tenté de la retrouver à travers ses conquêtes. D'ailleurs, l'amour qu'il porte à Mevanwi n'est peut-être pas aussi fort que celui qu'il porte à Aconia. Il a défié les Dieux en se mariant avec Aconia, il a renoncé à Mevanwi pour apaiser leur colère. Guenièvre a donc raison lorsqu'elle affirme qu'Arthur ne peut aimer personne. Son cœur est toujours pris.
La place des femmes est donc centrale dans la quête du Graal. Paradoxalement, pour les femmes, la quête du Graal est donc plus importante qu'elle ne l'est pour certains chevaliers. Effectivement, la quête du Graal représente davantage pour elles dans une société où elles ne peuvent accéder au pouvoir de façon officieuse que grâce à l'argent et à leur statut. La quête des femmes de Kaamelott n'est peut-être pas si différente des femmes d'aujourd'hui : chacune rêve de liberté, d'autonomie, d'indépendance, de puissance, et toutes sont prêtes à tout pour parvenir à leur fin.
[1]D'ailleurs, Arthur dit à Guenièvre dans Le passage secret, Livre II : « C’est parce que je cherche le Graal que je suis Roi, et du coup vous êtes Reine. Si je cherchais pas le Graal vous seriez encore en Carmélide en train de torcher le cul des vaches dans une des fermes de votre con de père ! »
[2]D'après Dame Séli dans le Livre IV, Tous les matins du monde, 2ème partie, M6 Vidéo, 26/09/2007
[3]D'après la Loi : « « Sera roi celui qui réussira à retirer l'épée du rocher. Si le roi lui-même échoue à la récupérer et que personne d'autre n'y arrive, faute d'héritier mâle en âge de gouverner (14 ans ou plus), la reine devra alors nommer un régent (les femmes n'ayant pas le droit de gouverner à Kaamelott) ».
[4]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Tous les matins du monde, 2ème partie, M6 Vidéo, 26/09/2007
[5]Comme elle l'affirme dans le Livre I, La pâte d'amande : « ma vie, c’était de la merde, vous entendez ?! Recevoir le chef de ci, le roi de mi, toujours polie, toujours bien mise, le symbole de la nation bretonne, ha ! Il en faut bien des compensations pour encaisser toute ces conneries hein! Toujours s’occuper de tout, pis surtout de vous, parce que vous avez des responsabilités! Et qui s’occupe de moi pendant c’temps?! […] J’ai pas d’amis, pas de loisirs... Comme vous me touchez pas, les choses de l’amour je m’assois dessus, et je parle au figuré. »
[6]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, Des nouvelles du monde, M6 Vidéo, 28/09/2005
[7]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, Le discobole, M6 Vidéo, 28/09/2005
[8]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre III, Guenièvre et Euripide, M6 Vidéo, 08/11/2006
[9]D'après Sophie Cassagne-Brouquet, La vie des femmes au Moyen âge, éditions Ouest-France, histoire (coll.), Evreux, 2009, 2010. et Jean Verdon, La femme au Moyen âge, éditions Jean-Paul Gisserot, histoire (coll.), 1999, 2006 (7ème réed.), Cet aspect de sa personnalité reflète une réalité historique : les femmes, au moyen-âge, étaient courtisées par les poètes et les troubadours, car elles administraient souvent la vie culturelle du château. À travers les louanges des personnages féminins, les poètes faisait en fait des éloges des Dames qui les accueillaient et les nourrissaient.
[10]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Les bonnes, M6 Vidéo, 26/09/2007
[11]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Les novices, M6 Vidéo, 26/09/2007
[12]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Une vie simple, M6 Vidéo, 26/09/2007
[13]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Le sauvetage, M6 Vidéo, 26/09/2007
[14]Alexandre Astier (real.), Kaamelott,Livre III, Au bonheur des dames, M6 Vidéo, 08/11/2006
[15]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, Le secret de Lancelot, M6 Vidéo, 28/09/2005
[16]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre V, Les exilés, M6 Vidéo, 19/11/2008
[17]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre II, L'enragé, M6 Vidéo, 14/06/2006
[18]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre V, Le garçon qui criait au loup, M6 Vidéo, 19/11/2008
[19]Bernard Felix, En quête du Graal, Aubéron, 2003, Mayenne, p13-90
[20]Bernard Felix, En quête du Graal, Aubéron, 2003, Mayenne, p13-90
[21]D'après Jean Verdon, La femme au Moyen âge, éditions Jean-Paul Gisserot, histoire (coll.), 1999, 2006 (7ème réed.), les femmes pouvaient, au Moyen-âge, défendre les châteaux en l'absence de leurs maris et choisir, comme dans la série, l'homme qui détiendrait le pouvoir, mais elles n'étaient pas chevaliers pour autant
[22]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, La potion de fécondité, M6 Vidéo, 28/09/2005 et Alexandre Astier (real.), Kaamelott,Livre III, La potion de fécondité II, M6 Vidéo, 08/11/2006
[23]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, La tarte aux myrtilles, M6 Vidéo, 28/09/2005
[24]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Tous les matins du monde, 2ème partie, M6 Vidéo, 26/09/2007
[25]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre II, L'enlèvement de Guenièvre, M6 Vidéo, 14/06/2006
[26]Henri Bubert, Les celtes, Albin michel, coll. « Bibliothèque de l'Evolution de l'Humanité », 2001
[27]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, La visite d'Ygerne, M6 Vidéo, 28/09/2005 et Alexandre Astier (real.), Kaamelott,Livre III, La veillée, M6 Vidéo, 08/11/2006
[28]Alexandre Astier (real.), Kaamelott,Livre III, Cryda de Tintagel, M6 Vidéo, 08/11/2006
[29]Ibid
[30]Charlotte Guest, Culhwch ac Olwen, sur http://www.ancienttexts.org/library/celtic/ctexts/culhwch.html
[31]Dans Kaamelott, ce sera une potion de polymorphie dans le Livre I, La potion de Polymorphie
[32]Anne Berthelot (dir.), La légende du roi Arhtur, Éditions du Chêne, Hachette Livres, 2004
[33]Astier (real.), Kaamelott,Livre III, La veillée, M6 Vidéo, 08/11/2006
[34]Rappelons, d'ailleurs, qu' « avaler » signifie « descendre » en ancien français. Les îles d'Avalon seraient non seulement des réminiscences de l'imagerie de l'âge d'Or, mais aussi un paradis dans lequel les âmes mortes demeurent, comme celle d'Arthur après sa disparition dans La mort du Roi Arthur. D'après Anne Berthelot (dir.), La légende du roi Arhtur, Éditions du Chêne, Hachette Livres, 2004
[35]Dans la série Merlin, Mevanwi est la sœur jumelle de Merlin.
[36]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, La faute Ière partie, M6 Vidéo, 26/09/2007 et Livre IV, La faute 2ème partie, M6 Vidéo, 26/09/2007
[37]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, L'échange Ière partie, M6 Vidéo, 26/09/2007 et Livre IV, L'échange 2ème partie, M6 Vidéo, 26/09/2007
[38]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Le renoncement, 2ème partie, M6 Vidéo, 26/09/2007
[39]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre V, Corvus corone, M6 Vidéo, 19/11/2008
[40]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre V, Le dernier jour, M6 Vidéo, 19/11/2008
[41]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre V, Le phare, M6 Vidéo, 19/11/2008
[42]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre V, Le phare, M6 Vidéo, 19/11/2008
[43]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, Azenor, M6 Vidéo, 28/09/2005 et Livre I, La kleptomane, M6 Vidéo, 28/09/2005
[44]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre I, La coccinelle de Madenn, M6 Vidéo, 28/09/2005
[45]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Tous les matins du monde 1ère partie, M6 Vidéo, 26/09/2007
[46]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre II, La joute ancilliaire,M6 Vidéo, 14/06/2006
[47]Alexandre Astier (real.), Kaamelott,Livre III, La ronde II, M6 Vidéo, 08/11/2006
[48]Alexandre Astier (real.), Kaamelott, Livre IV, Les liaisons dangereuses, M6 Vidéo, 26/09/2007
[49]Astier (real.), Kaamelott,Livre III, Les cheveux noirs, M6 Vidéo, 08/11/2006